Acrylique. Ouverture du chant des monstres métaphysiques.
Sans foi ni loi, les privilèges contre toute attente. Capharnaüm.
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J'écoute et entends. La vie va et vient la marche des flammes invisibles.
Surprenants advenants qui marmitent et qui fument. Aux regards des automnes où les commissures de nos lèvres rejoignent toute l'intelligence, toute la magie des intentions louables et généreuses. De la beauté des yeux du sort. La monotonie serait merveilleuse... C'est sans surprise. Et pour le jeu des insouciants. La mer se brise en sept. Le vent intrépide qui palpite et se meut sous l'égide des singularités de la Matière. Calmez les hardeurs trompeuses comme le rugissement des ombres aux pleurs nostalgiques. [ à suivre ] La peur, le recel des mots. L'urgence de bonheur. La frénésie dansante la paix explicite. Fasse que le chant du monde parvienne aux sourires des insouciants... S'éprouver d'aimer pour s'affranchir du réel, ou parvenir de libertés en liberté aux absolues quintessences. Oui aimer. Et faillir. Rêver à ravir... Vis et meurs. Ris, et pleurs. Sois ou sombre. Va, viens, parviens des morosités insatiables contrées aux pas guillerets. Quintessences absolues au principe d'ubiquité. Vers l'objet des lumières magnifiques. À l'avenir de poussières scintillantes en lumière feinte. Je ne suis qu'un combat contre le temps qui veille, ou la plume dans mon oeuil fait du surprenant mon combat, et du décevant les bords du gouffre omnipotent. Allons, je baise ma vie. Je bas le faire. Je parviens au mieux de l'hyperbole, à la failure originelle. Où le combat est serein plein de charme et de dessein. Entretiens.
Crier ses chaires déracinées. Sublimer sa pourriture mortifaire, pour mieux accueillir la quintessence des nouvelles matières en transformation. Ainsi se projeter en pleinitude vers les nouveaux horizons contemporains incertains et éprouvants de réalités qui nous rendent si perplexes. Vers quelle lucidité nous engagerions-nous, au-delà du sublime et d'une vigilence à la gageure du réel continuel...
Turpitudes de l'instant aux sourires ravageurs jusqu'à la mort dans l'âme Semblants lugubres par les bruitages nauséeux entre autres intentions Et si le vent se heurte à l'arcane lumineuse comme l'or à la beauté Habiter le monde pour la perplexité des genres en cascades de lames Virtuelles plus qu'inhabituelles puisque l'illusion fait la force de l'éperon Pourfendeur du néant à tout va comme les heurts à l'impartialité d'aimer Qu'est-ce qui anime la flamme au tréfonds de ma joie de vivre
D'où se singe la folie répartie aux sommets des villes en veine Puisque tout appartient à la forme au-delà des sentiments Accueillir à compter les prouesses à la morosité Sur un lit d'étincelles en arcades aux souhaits éconduits Par la rage ébrouée que les souvenirs accompagnent La magie des silences lourds de violence sans compromis Pour une nuée d'arc-en-ciel qui font battre nos sang Comme le rocher égratigne et fait vibrer S * Avant de naître, où que le vent te porte, vers ta lumière puissance et présence, aux ombres dorées, je t'admire.
Des chants ondinent aux confins des vagues naïdes baignées par l'océan proche ou lointain. Luxe féérique qui caroussel. À ta beauté, à ta grandeur, pour ton âme de bienveillance, pour ton âge de gambin, jeune gars gambade souvenirs bambins... Découvrir et redécouvrir, aimer à désaimer même sur tes dix années de vie, vers la légèreté derviche au centre de ta joie Toute vive joie comme une flamme s'anime, comme de réussir son humanité, cette passion de vivre au delà d'une bestialité Intrinsèque primordiale. Sois sûr de ton entreprise pour danser le monde, voyager des sons aux images, caresses et sourires Entre tes rêves et tes réussites, sache la sagesse toute gaieté aux plaisirs distingués allègres et resplendissants. Tendrement. Réflexion d'étoiles au fond de tes yeux, vitalité du corps souple et éloquence de tes pas à pas contournent et dessinent Les voltes du bonheur à la lueur du jeu du bien et du mal, à la ferveur des anges posés sur toi, symbolisme du merveilleux. À toi, force et légèreté! Pour toi, ombres dansantes de singularité! Jusqu'à toi, toutes belles pensées que peint mon émotion de croire en ta force de joie. Salutations de magicien// J'écoute et je vois... Entends et sois...
Ferré et son "Métamec" ! Entre ciel et enfer, écoutez, écoutez encore... // Je sais mais ne sais rien ; le vent tapisse mon oreille interne, le vertigineux se joue de moi. La folie de joie, au contour du vide. La chose se déshabille. Elle est vertigineuse... Alors je me recroqueville sur un égotisme d’apparat, l'équilibre sur le chien Diogène. Oh philosophe, mon philosophe, que ton cynisme est ressourçant, que ta volonté subjugue les peurs et l'appartenance. Je vois sans voix. J'aime par dédain, tant j'aimerais sans doute à la hauteur des vices immortels. Quand au seuil de ce que je vis, je croise la félicité, elle me dit "Passe ton chemin, l'ennui !". Sentant le voile sur ma chair, je dessine la croisée, le regard enjoué, la perplexité logique, l’âpreté organique... Sur le voile fleurissent les musiques du cœur qui bafouille et se trompe sans qu'il pleure. Je me laisse du déjà et pourfends mes sagesses. S ' Texte... Textualiser /de l'invraisemblance des formes libidinales évanescentes/ comme (si je me permets, et) j'entends le prix-Nobel VIXI ,soit le jurassien artiste poète rockeur Hubert-Félix Thiéfaine // il est, il se meut d'émois à pourfendre les silences - en ces bruits l'esprit, le poétique naufragé - l'éclair de lucidité au tréfonds des chaos créatifs du vide et des harmoniques saturés bienséantes (assurément). À Bob ! Aux naufragés du vide. À l'espoir de poussière. À l'inconnu puissant puisant. Aux pâleurs des nouveaux rêves, comme aux raisons déterminantes qui poussent poussent à l'irréel septentrional... D'une littérature exacerbée aux commissures des sens aiguisés de ne plus savoir le sens et les pourquoi l'amour du pipeau et tout le "schmilblick... Septentrional, j'vous dit ! Comme une invraisemblance de plus aux démons de nos lucidités réciproques. Le "La. Les "hyènes... Sur la Roch'aile / si les anges bleus reviennent /. À cette joie primordiale. La première souveraine des matins bleus et roses sur les chants silencieux, enfin, le jour à la nuit, la lune aux tourments perpétuels et discontinus. L'amour de vaincre, comme on donne le "La - à bientôt, de nos vous à nos lumières-poussières d'étoile, comme on quête l’irascible. Un printemps, un été, un automne, et nous voilà partis. Voyager, aux vibrations improbables impromptues éventuelles. Renégats des émois chantant la face du monde. Nous voilà. Le Nobel pour Bob. La vertu de nos joies. Le sépulcre et la miséricorde ne passeront pas... Que de joie, que de joie : jusqu'aux pores de ma voix, nobles ou non conformément naufragés du Nautilus, nautile Nauticus ou encore, finir sans finir -à jamais - - - - - - - - - S *
Aux contours du vide, j'ai des accès de vaillances en dépit des sourires qui font les connivences. Ma joie s'assombrit comme aux jalons des hospices hérétiques. La sémantique se meut. Les exemples ravissent l'entendement, et pourtant, la reconnaissances résiste aux malentendus improbables. Comme un salut sous le pont des écueils perpétuels...
Entre les lumières lugubres pourfend le marasme des axiomes apoplectiques. L'envol est saturé. Le grenier est débarrassé. La musique des sens m'encourage si j'en devine l'air du rien de mes rimes, d'une prose d'alentour, d'une émo'poétique évanescente comme les pulsations gorgées de sang dans nos chaires. Je devine. Et je sombre, toujours. Que ce soit d'un pardon. Que ce soit d'une histoire. Que ce soit d'une ivresse. Ou le simple moment d'un repos quel qu'il soit. J'apostrophe et je sombre. La ferveur jamais encore. La joie toujours. Les rires aux aboies. Les soupirs quelquefois. Un sourire me déçoit. Comme je vois. C'est comme j'entends. La volonté achevé sous les rideaux de sable. La mer est obscure. Le mal s'en donne à cœur joie. L'irréel entre et vient pour de bon, pour du rien. Et xy, les contours miroitent ce qui fait force, ce qui devient, des puissances, au plus juste moment, à la source de l'instant, l'ultime est sauvage, architectural, souhaité. Puisque tout est juste. Puisque j'en convient comme la monotonie. Comme ma bonhomie. Comme cette ligne se termine... Au souffle de l'instant de vivre aux lumières chantantes.
Maxime et curiosité affectueusement. De la courtoisie. Du dégoût aussi. Pourquoi j'envie qu'j'm' dit. Et puis toujours en ordre. L’avènement autrement. D'épilogue en vibrations, des lueurs bientôt perdues. De l'ivresse fantastique, joliment. Je devine en pensant sans que cesse l'origine déterminée cardinale. Or, voici l'instant, le moment, le somptueux, le vide affectueux. La simplicité de s'exposer à l'astre bienveillant, et réciproquement. |