LE MATIN DES MAGICIENS, Nayah el Nayah
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* * * * *

Écume de l'exaltation sentimentale / En Epsilon du Matin des Mã' :
Nouvelle émopoétique en cinq temps, s
oit la suite 17-45-51-61-55 .  


*****

[ 17 ]



*

De la légèreté...

À le doigt.


*

*

*

*

*


*******

[ 45 ] - À partir du Rien, RéFléchir la toxicité du Réel



Les laideurs prennent trop souvent le pas sur la bonté,
que sous-emploie le monde.


L'hermétisme d'à-propos suggère autant l'intranquilité
qu'un orgueil suranné.


Le Trop appelle la béance comme le nouveau né
l'improbable.





( Quelquefois je pleure l'acte de vie
comme au loin percevoir les clartés éphémères. ).





Si-il était réellement question du sens, la raison se ferait la belle en deux...


Si la rigueur en fin primeur semble déchue, que restera-t-il des écueils ?


Pourquoi les yeux sont au regard ce que le temps donne au changement ?







Réfléchir, Ré-Fléchir...
Tel une note, le son sort de la flèche, par l'élasticité,
les intentions louées et louables.
Quand je trébuche d'un pas, je croise le réel ;
en me saluant, il s'oublie déjà... ou pas (-à pas...).







Devant deux êtres souriant d'un cliché photographique, au plaisir de les voir exprimer leur sympathie. Dès lors s'il s'agit de côtoyer la mort du moment X de l'image arrêtée aux instants diffus de les (re-)connaître, de les apprécier, comme de les rencontrer à nouveau.
Soit. Le mystère reste mystère.
Le vieux fusil devient relique.
Et le vibrato sert l'apostrophe du dernier venu en scène.







Outre que l'absence soit le doux poison qui fruste mes sens...
L'ignominie croise mon consentement. Enfin, il s'agit de pourvoir aux maladresses du monde toutes pro-subjectives soient-elles...
Ce que l'hypocrisie est au désappointement, ou, des escadres bouffonnes interprétées par l'hystérie des sexes trublions. Je me comprends.
Et peut-être vous diriez-vous, que je suis certainement le seul ! Bien mal m'en soit gratifié, je ne succombe guère sinon point à la condescendance transcendantale suprême et magnifique. Où l'ignominie réside en ces faits alloués allouables. Le serpent rampe à la besogne. La voix porte le venin de l’immonde, où les yeux saignent les préjudices libertaires.

Cataclysmique... Je sens les fleurs sous ma peau. Je suis le chardon amuseur. Obscure désapprobation, du manque aux perturbations énergétiques saturniennes.
Quelle case ? Quels oripeaux ? Quels amours fleuris de malice ? Mes malices ? Le vertueux me déçoit comme sature le monde spartiate : quelle déterminisme me réchauffe le cœur au corps conceptuel... Aléa. Mutations - Parjures - Créations. Cosmologie, et salutaires magnificences.
Les interlocuteurs souhaiteraient me (re-)définir afin d'apprivoiser une image. Quelle image ?!
( Sachez nobles arpèges les besoins de la femme ! Quelle qu'elle soit... Au défi de ce qu'elle pense revendiquer, la femme espérerait tant... ).


En mes mesures, je me désarme, je me contrains.
Voir même aveuglé d'un ailleurs improbable.
Au corps le poids du malheur,

Les doigts de l'incertitude,
Des pieds s'encoublent à l'ombre de mes ailes,
Un esprit se donne aux rapaces de l'amertume, comme la bière à ce goût de triomphe décadent.


Par tant de circonvolutions,
Par tant de circonspections,
Je me désavoue, à aimer la vie. Je brûle
(à exprimer mon dégoût ou mes pseudo-certitudes).



[ À croire sans savoir... À vivre sans aimer ?!
Si l'ivraie est le poison (-je l'ai déjà écrit-), sans suspicion.

Le pluriel de cette pseudo-volubilité recèle la teneur en ma décharge.
Que les nuages emportent la marée comme le ciel le bleu de l'océan...

Ma fatigue se divertit sans nul doute, aussi blafarde semble-t-elle.
Subtilement, valeureusement, sans anicroche. Sans... Qu'on puisse toujours rêver...
Suivre sa mesure sans mesure, les pas meurtris des grandes crevasses... Si heureux qui des corps s'arrêtent de bramer !



Pour en finir,
j'écrirai, les mots (encore). Ceux des ruptures, de la désolation...


Je ne comprends pas, la versatilité, et l'approbation, me sont familières, comme le loup connait la solitude,
comme le renard la dépendance,
le poisson s'endormant...








/ Morbid "Fall of Grace" Angel


Rares sont les moments de félicité. Quelquefois où va le sens de ce que je ressens.
Je découvre sans cesse. Une avalanche à désapprendre. Et des rêves de ces instants
D'appartenance, éphémère et nostalgique.
Comme on peut plaindre l’Alzheimer...



Quelques notes, du vent, et tout s'estompe. Comme je me réveille, je me sens mourir. Pourriture à pourriture. La morosité des temps qui s'affiche comme des frontières au réel ; à ce réel enivrant jusqu'à l'excès, le sabbat ne me rend plus grâce. Ma déchéance. Mon ambon embobineur.


Tant et tant, et si peu... Les reliques d'une verve, une envie de vomir ce monde, ce dégoût qui m'habite. Encore hier, tenu dans une antre de courtoisie, un être par dépit !! Quand la colère gagne, que les vagues cassent, lorsque je perçois cette étrangeté au désir.....mais un malin plaisir. Quand je vois la bassesse, que l'image est immonde, une pluie acide, un plein liturgique blasphématoire, un élan de cupidité, un malingre de générosité.....malgré tout, je tombe, plane ou tombe.


Aux fumée des ancêtres, à la pureté d'une clarté de l'Esprit, vacante et tonifiante.
Les bruits du nouveau-né devraient me donner présence et assurance, est-ce le cas ?
On parle de la beauté de la vie, qu'en est-il de sa pâleur, de sa laideur, de ses monstruosités. Il y a le fascinant du Monstre. Au delà des apparats, la Vie... VI-e : comme un chiffre, comme l'étendue verticale et réceptive de nos perceptions. Il y a autant d'il y a, partout, autant,
"Ça va
Il y a toujours un peu partout
Des feux illuminant la Terre
Ça va
Les hommes s´amusent comme des fous
Au dangereux jeu de la guerre
Ça va
Les trains déraillent avec fracas
Parce que des gars pleins d´idéal
Mettent des bombes sur les voies
Ça fait des morts originales

[...] " Jacques Brel



******

​
[ 61 ]

​
*
De la Gaieté
Le doux bémol d'une voix muette
3ème Perle : fibres d'exhorte
Unité Amicale
Aux clameurs des épures
2de Perle : De la fascination
Écriture
Au cœur de l'intime
1er Perle (et au-delà)

* ( 9 ) *

*



De la Gaieté


Que de clameurs éblouies - Guettons nos biens - Allons à l'évanoui
Le bateau qui vient, qui nous emmène ailleurs
C'est ailleurs bien ici - C'est ici au bonheur, que j'aime (la vie)
Lorsque tu ris,
Lorsque tu souris,
Lorsque nous sommes amis.


Aussi gai que distrait, ainsi vif qu'ébloui
N'être dormeur au rêve étonné
Aujourd'hui mériter la joie de se sentir à jamais retrouvé

À n'en blêmir d'émoi - Que ta gaieté est là
Que cette gaieté en toi, t'ouvrira à la joie
Qui sommeille en chacun
Et, merveilleuse en Soi...




*



Le doux bémol d'une voix muette


(Repères en brève)
Le temps d’une chanson
Fait vivre quelques frissons,
Allant, venant, jusqu’à l’unisson,
Pour que s’expriment tes émotions
De partager sans que s’arrêtent
Le doux Bémol de nos voix muettes.
(Mouette-mouettes...)




*





3ème Perle :
Fibres d'exhorte



Sur le chemin du coeur, je m'illumine
Dans l'ombre des regards et des sourires
En présence, en conscience, vibrante
Au champ de nos sensibilités ouvertes
D'horizons, venir au monde à renaître





*



Unité Amicale


De l'Amitié...
Ami, tu es entier - Ami tu cours sur mes lendemains
Ami, être là pour éclairer le chemin - De nos vies jusqu'à briser l'Étrier,
Qui nous attache à nos rêves, qui nous malmène quelquefois, et pourtant
Devient le support de nos plus abyssales amertumes,
De nos plus grandes chevauchées.
Avant que la monture sorte ses ailes...
Avant que la vie rime d'Éternité,
Vivre à jamais s'en décevoir.
Se convaincre qu'un ami sans rancune est un pilier ;

Et d'une poutrelle, réaliser qu'à compter de mes jours,
De mes heures et des chiffres à la fois, se permettre
De vivre une vie d'amour...
( Où l'amitié, c'est sans pitié...
L'ami semble ritualiser - S’enlacer pour mieux s'illusionner,
S'investir au-delà des pensées,
Reprendre l'ironie du messager :
Apporter sans garder, sans manquer - Sans se masquer,
C'est répondre aux doux vœux conseillés
D'accepter nos rancœurs exacerbées... ).



*****

[ ... ]



​

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[ 55 ] (pour, 11 inintitulés)





[ Méridien 15 / Altitude 262 ]





Commencement au langage des mots,
Des résonances aux manuscrits,
Égérie d’une vie aux sons échos,
Rigueur de rencontres en leurs cris...

Concevoir pour mieux percevoir,
S'épandre aux vertus d'animosités ;
Admettre l’équilibre, le pantin qui
Disposé entre nos mains,
Semble aussi user d’autonomie.

Pour quelques écrits, quelques vers,
Libres de sons en expressions,
Logiques aux rythmes d’émotions ?

Volonté raisonnée, raisonnable ?
L’amour comme deuil de la pensée ?!
Du rien philosophique au déni dramatique,
Un chant d'horreur aux maints bonheurs...
Panser la vie s’il est admis,
Penser le monde à l’infini.

Apercevoir un dénouement, un firmament...
Haine et amour de tous les jours,
Rire à bonne heure pour les heureux,
Frémir de vivre les toujours mieux.

Allons voler vers les idées, vastes contrées,
Pensant la vie à s’en émanciper, en libéré !
Volonté, amour, guérison, au doux
Désir que d’être humain est si divin...





*





[ Mer. 566 / Alt. 29 ]





La cité est-elle leurre de l'Esprit ?!
D'une idée faite place face et philosophie,
Être d'écriture en ces vœux de réel
Que justice ne devienne malin rituel.

Afin de correspondre à l'entrée de la Voûte,
Rencontrer les images d'une vie en déroute :
Aimer conter mirages et ombrages,
Pré-exister de l'avant à l'arrière-âge...

Le donneur de leçon s'est assis et s'est tu ;
Il ne décevra plus son trésor, ses vertus.
C'est une revendication à mes provocations,
Ou par concentration, Je demande Attention !

Il est des âges qui s'expriment à la Lyre.
Ou d'un ravage, ils gagnent grand Place...
Ce miracle serait une calomnie : Dire
De Raison qu'elle est hymne fugace !?

Rimes et apostrophications de démence avouée,
La poésie se reconnaît à l’apogée du Rituel... Afin
De répondre à la donnée que ce dont elle est insurgée
N'en devienne un état morbide et suicidé, en vain.





* *





[ M. 601 / A. 88 ]





Pleurer en âme échouée, sourire à son image déifiée, sans aveu.
Quelle éloge présomptueuse dérobe à l'entracte d'immensité
Des larmes de paix à souffrir...
Une vie donne à ce qu'elle prend :
Des visages, des images et présages.
Nos ailes en leur perte, renaîtront tour à tour
De nos espoirs, en notre verve prétendante...

Beauté, illusion, obsession, floraison, dévotion.
L'amour s'émancipe vers de nouveaux horizons
Toujours plus attractifs, toujours plus éclectiques.

C'est une chimie de vie, une chimère d'envie.
Dans nos têtes, qu'alouettes
Dans nos cœurs à tue-tête
L'interprète, berce les mouvements,
Entonne ce doux chant :
- " Tu es le chemin d'une idylle
Tu es l'entrain et le dessein
Saveur d'une nature paisible
Lorsque l'instinct domine
Écoute la voix du cœur
Merveilleuse de douceur
Assone l'émerveillement conteur. "


À pleurer son âme échouée, et sourire son image reflétée...
Lorsque l'aveu étend ses préjudices
D'un avenir à l’artefact échafaudé.
Pour se moquer de l'instant si propice,
Écrire une prière au supplice :
- " Chemin de martyr à la caresse divine
À faire mirage aux enfances toutes intimes. "

Fort fatigué à la course des jours,
Éprouvé à la lenteur, toujours !?
Opérer de signature en signatures,
Qu'un renouveau ne tombe à l'eau.
Et vœu d'en-haut sans parjure
Détiendrait les clefs de nos amours.





* * *





[ Mer. 36 / Alt. 344 ]





Lever à l'ombre de prophéties.
Espérer d'azur et de lointain...
Une pluie noire retient l'éclosion
En devenir au plus prompt dessein.

Prendre la main de son voisin.
Combattre par monts et par vaux, les apparentes récessions...
Savoir saisir le sens et l'envergure de maints mensonges.
Écrire qu'un temps semble défini
Lorsque l'humain est si trompeur
Qu'en un prestige, il se saisit.

Sourire aux jours d'entière générosité,
D'un monde qui ne nous appartient pas.
Ou enfin peut-être... Faut-il responsabilité
Qui semble imposée soit sujette aux Écritures ?!
Vers quelles modernités ? Ou médiocrités ?

Que vaut l'envi sans une vraie fin...
Être autre est autant que mal-épris.





* * * *





[ Méridien 267 / Altitude 414 ]





Se lever, combatif, que l'air de rien, contemplatif,
D'un monde à l'illusion si pragmatique,
À la vision d'une universalité de connaissances
Dépassant de loin l'éphémérité d'autant d'errances.
Comprendre ainsi ces toujours mieux, déséquilibres à vivre
Libre. Libre-penseur, libre-donneur, libre-amoureux...

Être l'esprit ou le tout comme, un plus comme une appartenance,
En somme toute addition cumule résulte de propagation gangréneuse.
Or l'équilibre est ici-bas... C'est aussi haut qu'en signifiant :
Le commun des mortels ouvre ses ailes, le vol est beau,
Comme louables sont les parjures de irrévérencieuse majestuosité.

Aimer un monde et l'entière humanité qui chante
D'honneur plus que d'horreur ses velléités.

Finir maintenant comme à jamais,
Un équilibre si déterminant...
Croyances et espérances
Enfin levées d'une quête infinie,
Aimer le monde, aimer la vie.

Répandre et répondre, émettre, marcher, tomber,
Ou s'oublier... Un rêve de trop ne l'est p't'être pas !
Alors ouvrir la marche lente, d'une course effrénée
Se remettre à toujours plus s'é-créer...





* * * * *





[ Mér. 564 / Alt. 237 ]





Questionner l'origine d'un Assommoir...
Des préjudices à l'outrageuse créativité,
Dialogues, discours et découvertes,
Feux de joie, feux sans mystère.

Les crispations d'une lecture au grimoire des grimaces...
Qu'elles sont folles et douces ces figures démoniaques
Joueuses, et pourtant si avenantes. Détrompe-toi !
La mal-heure est démente pour celui qui la croît
Déterminante.

S'ouvrir à soi, vers l'agréable regard, richesse d'une humeur chaleureuse.
Sourire aux éclosions et leurs visions...
Nourrir d'amour la vie de nos envies,

Et le désir, quelques mélancolies, enfin.
Comme ces dernières déterminent

Obsessions et encouragements, soifs et faims,
Enthousiasmes et quiétudes.


Finir au jour c'est à la nuit le don d'ivresse en féeries... S'en abreuvoir
Comme en conter la joie au corps de rencontrer. S'abandonner...
S'en parfumer. À se sublimer !?

Continuer la route longue, et attractive. Le jardin où les âmes éclosent.
Le conteur est dispersé, comme disparate. L'eau de vie s'en menace...

Une musique ouverte intemporelle nous interpelle.
Continuum du temps continuel proportionnel...
Aimer la vie et tous ses dons. En prosodie.





* * ** * *





[ M. 47 / A. 854 ]





C'est Rage à l'Âme renversée réinventée.
Intériorité de louanges aux lames épargnées,
Expressivité d'étendre ses larmes... Et d'engouement,
Vivre à s'en combler, pour s'engourdir de parfums :
Sublimation, détermination.

D'un décor mentionné aux abords visionnaires, tristes,
Rire sa joie et l'amertume... Aimer la vie n'est jamais trop.
Ce qui adonne à l'homme de penser,
Chante la fable au commencement :
Trois, Quatre !
Avançons, partons... Irons-nous pour revenir ?
L'essence de sentir et de frémir...
Vivre. Charmes et prières contre tout.
Chaleureuses bontés en nos cœurs outragés,
Frissonnante sagesse aux échéances diverses,
Le cœur au fond de la promesse d'un nirvana
Aux tréfonds de Soi.

Continuer sans frémir, sans finir... Continuer et continuer,
Sans ou avec reprise ou silence. Pour ou contre les cas
De l'échec tant et trop redouté.
Aimer à s'en questionner ; Douce
Tromperie de chaleurs au corps ?!





[ M. 571 / A. 34 ]





Écoutons le chant affable de circonstances.

Et si c'était à refaire... S'il suffisait d'un instant, d'un mouvement...
Voici les révolutions des élans de plaintes arbitraires. Ou trompées
Sont les vertueuses renaissances alliées de nos moqueries...

Il est parfois, nonobstant l'imparfait.

Quelques notes de complaintes sans étreintes, comprendre ?
Voici des lignes voguent au gré de milles feux,
Voici l'ardeur de se sentir terrassé. Anéanti.
Démasquez à l'outrance, la décadence !
Sauvez l'adieu, les aveux... Sauvons-nous,
Sauvez-vous. Guerriers d'amour,
La lettre vous sourit encore, et
Les yeux pour pleurer, sagacité.

Les couleurs de nos joies
Présentes ça et là, ou comment
Participer sans le faire déjà...

Désirs ardents aux maints combats,
Adresse des passages parages exaucés.
Toute foi au corps, sacrificielle, les auras
Ne confessent le passé par autorités,
Contraignent les circonvolutions intenses
De la volonté, aux impressionnantes envolées
Quant aux menaces des étendues monotones
Et silencieuses... Les ailes s'ouvrent de raison.
La réalité des Pourquoi intervenir et pré-citer...

L'ennui au ventre, l'image et la furie


Comprendre en Quoi l'absurde se prédispose
Aux jeux d'user à supposer les ombres sabres.
Coupantes étreintes, les aurais-je remarquées ?

Amusement... Des péripéties à l'instar devenues,
Humanités contraintes en tenues immorales :
Ce qui se passe déjà perdu
Lorsqu'il s'agit de contenter
Les balles aux regards diurnes nomades,
Contempler la nature, les rites d'usage...

Quintessences amicales, joyeuses Éternités,
S'endormir d'expiations incommodantes pour
Que la beauté sanglot à l'honneur sa déchéance.
Une musique. Un accord, en ordre, à l'aube,
Un nombre d'or au goût d'entier,
Muse au Corps, l'archer se tient
En maître conteur pour tout Été.

Quelques dons pour expériences,
Livrent agencement et glorieuses égéries
Nombreuses, trop nombreuses bienséances
De sérieux regrets, aucun méfait qui satisfasse
L'arbitraire au négatif, le conjoncturel à l'illusion.

Déviances des Égéries bien pensantes,
En bienséance et en intégralité... Voici
Les intentions mêlées qu’attend un peu
De bonne Foi. En émérites. Afflictions.

Mornes et mortes. Les cris du désir. L'ivraie
Du pardon. Les souffles divins. La fatigue à l'envi
De créer, s'é-créer. À jamais. Encore. Pour quoi...

Des suppositions... Entre méfaits et autres courtoisies,
En attentes, face au Vide, les mirages absents, outre
Les beautés de la plénitude supposée recherchée à jamais :
La cité de l'esprit, les inquiétude, la magnitude à regrets, pardi !


Belle est l'absence pour donner à mes pleurs
La teneur détendue, les cris du désarroi, l'entre-deux.

Au renouveau de Vie, un attrait, une ou deux
Entre les reflets aux plus doux des secrets...
Célestes ! Situations probables enchantées
Par la mesure, les conjonctures du Sens lié
Aux engeances des sourires toute discrétion
Apportée. Jeunesse en vergogne, en prouesse
Et en proie aux satisfactions classieuses. Espoir
Sans tergiversation, yeux humides étincelants
De lumière, sous les hospices des ardentes
Nostalgies, autres équinoxes...





[ M. 411 / A. 320 ]





Un jour, une heure, à ces allures de fête,
J'écoute au loin le bruit de l'interprète,
Qui ne sera que vil et sourd,
S'il ne combat Magie des jours.

Écrire telle ou telle phrase,
Salutaire en phase...
Encore libérer pour que s'exhorte
Le doux appel, à ce qu'il emporte
Un chant d'amour pour la Vie,
Ce chant d'amour et non d’envie.

S'émanciper sous la contrainte
Déterminée par delà quelques plaintes


Créer le mot de l'illusion idéale
Où l'absolu atteint un paradoxe
Sans que les fautes soient de mention
Et de versions épaisses en tout Sens...

Encore, et encore, tensions des faits défaits,
Implosion des idées sans prétention autre
Que la simple joie de divaguer en s'attardant
Naturellement, sur silhouette trouble par-dire
Enthousiasmes bienveillants mal entendus...

Étendue. Ombre d'un monde à tue-tête
Où les âmes absolvent écrits deviennent.

Donnons du temps aux sourires moindres répercutés,
Comme se con-plaindre en veines d'amour sur loges glamour.
S'en suivent élans de verve pour autant survivent en vaines besognes,
Choix et désirs de Vivre, Aimer, saisir la main inventée Ivrogne qui lorgne...





[ M. / A. ]





Obscure est la nuit pour celui qui exulte au zèle
De ses yeux se plissent, se ferment, étranges
Selon que l'arme soit de culture en séquences.

Que de raison tradition, véhémence du Cri à l'Horizon.
Que d'illusions moribondes ne conçoivent l'irresponsabilité
De part tendresses sentencieuses, les anges bruissent au lever
De pieds, désappointements forcis, outrageux, alambiqués...

Sentences au sommet, quelques mots, quelques gestes
Tel un animal hante des responsabilités. Ouvrir les yeux,
Ou le cœur déchiré. En violence.

En un son discordieux, blêmir en hurlant,
S'en vouloir d'imaginer les troubles voués
Voltent d'une eau coule entre proximités.

Sortilèges. Tant de force occulte. Et s'émanciper au corps ?!
En venir à crier du Créer comme de raison gardée. Mourir
Á l'aube d'un matin glacé, Saveurs d'ailleurs et d'étrangeté.
Musique, musiques. Aux soins d'intemporalité disproportionnelle
En de minces et fines Ubiquités...

Servir la Fureur et les Cris. À l'imparable Amertume
En ce qu'elle devient belle au combien sensationnelle


Sentir Teneur en des Vœux de bonheur.

Allégeance d'un futur opérant fait lieu d'irréel, Éternel Enfer,
Lorsque Recherche donne Mieux que pleine Tristesse, soulevée.
































M.
A.








Quels intérêts n'auraient de sens qu'à l'appui de l'instant ?
Apprendre sans compter les moindres obstacles à surpasser ;
Ces vœux de sagesse face à la furie de maintes joies...
Que de rires en soi lorsque rien ne déçoit.
Mais au grand met qui ne salive nos bouches,
Les espérances n'ont de faim qu'à l'appui de nos âges.


Ainsi d'idées en idées, des bons de côté,
Pour qu'en l'image reflétée se révèle l'écervelé...


Si peu d'astuces face à l'oubli,
Des temps contraints mal choisis
Endurcissent et bénissent de bonne heure.
Où les refrains enjolivent les cœurs,
Chantant au gré des saisons,
Ces temps opportuns et mal choisis.






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