Les nénuphars du "lac" ( soit, l'Alpha en Cinq chiffres, cinq parties )
31 - 63 - 47 - 21 - 53
*********
[ 31 ]
*
Yz. VirginiT Opus B Funambule Éternité Paradoxes d'Équinoxe Axiome
* ( 7 "poèmes ) *
*
Yz.
( In situ. )
La Vie... La Mort,
Triste ennui aux Yeux du sort.
************************************
VirginiT
Pour les mots de l'Éternel ailleurs. Parvenir jusqu'à nous rendre hommage De ces rencontres à tel ou tel Âge As-tu su dévoiler de ton Cœur Les Sentiments laissent à pourvoir D'Aimer aimons croire... Aimons croire
Ainsi te dédier joies et larmes De réaliser chers à l’âme, De ces rêves qui font foi. Qu'ils soient des plus fous, Et pourtant tellement doux. Offrons-nous noble tendresse, Della Vie pleine de promesses !!
*******************************************
Opus B
La seconde lettre de l’alphabet Ne rime guère à quolibet. Beauté et bonté nous donnent La joie de nous rencontrer ; au-delà Des chemins réciproques, le « La » Pour que note et voie sonnent, L’arrivée à trépas des pourquoi, Des comment, et, autres questions, Qui font et feront, à chaque renaissance Mille et une nuits embellies par la présence De ces sentiments aux plus beaux reflets Sur l’eau déversée, lance à ce lion mutilé... Le défi de trouver, au regard séduit, Son image racontée.
Une lumière blanche, un rien de bruit qui se noie... S'émanciper de ruades sur chemins escarpés. Rencontrer aux détours, ou par trop d'émois, Noués sommes-nous, donnés et à nouveau du rien à l''Équilibre hanté
Peut-être ton visage, parsemé du regard vivifiant, Où s'incarne enthousiasmante joie à déceler et découvrir la Vie... Le tout s'immerge par-delà les envies Si d'imposture s'impose sous l'instant, dorénavant
Exister à transcender le réel à l'encontre ; Rechercher à réfléchir les valeurs qui font désordre, Avec regrets des effets à notes discordes. Ignorant d'être riche de Soi aux zestes encombrent...
Les rêves se brisent par trop de contraintes. Nos joies fléchissent sous des plaintes... Or les besognes de par nos rires, Se laissent saisir plus que choisir
Une Étoile par tant de quêtes éperdues... Je ne crois pas être sans ailes échues, Hors d'en être auteur commissionnaire pourvoyeur, Que mes misères soignent ton noble bonheur
Sempiternel dessein pour nous animer D'ivresse en une idylle saigne désignée... Cette folie des Grandeurs propres aux juvéniles esprits Désertent des corps leurs sens à renaître sans interdits
Rencontrer, lors de chemins impromptus, Abondance au cœur puisque de larmes pointues, Gaietés irradiantes livrées à être partagées, Lors du Voyage, saveurs d'Amour sont nées...
*******************************************
Éternité
Renaître un soir... De nos amitiés, nourrir l’espoir... Qu’en chacun, devenir. De chacune advenir...
Un renouveau à promptitude, Des élans d’altitude, Les versants de l’incertitude...
Créer des mots aux sens, quel non-sens ? Une multiplicité de directions.
Sourire aux jours, comme à la nuit ; Ce qui affecte n’affaiblit ? Croire à jamais savoir, En chacun parvenir, Qu’en chacun devenir...
Offrir... Les vertus de nos joies, Essences des paresses aux excentricités... Nourrir Vacuité et Renouveau, subtilement ? Sans faim, Sang fin, subtilement, sans Fin...
***********************************************
Paradoxes d’Équinoxe
Il est certain jadis à l'heure où bavait la tempête Les écueils du martyre aux yeux rouges éclatants La noirceur des idylles en ces corps étrangers Et la sournoise force de broyer l'indulgence Paradoxes
Assassins du bonheur, " vampirisateur(s) " Autant de dénomination à la peine en Folie Il est onze heure jadis qu'il transportait Les Saisons en son âme blessée
Équinoxe Autant faire ce que peu imagine semble-t-il Les galons de ressac et le trône " goulinant " Tintinnabulantes mascarades aux pieds songeurs La parade se terminera... À l'éventuel
Paroles ! Ne saurai-je effacer le néant qui me tient D'un équilibre précaire au mystère de son galbe À la peau nacre vermeille... Une manne Zoulou Aux écueils arbitraires et autres reflets éperdus
*******************************************
Axiome
Attacher au vieux rêve du mieux-être Comprendre les dérives de maux au superbe Prétexter des sentiments sans valeur qui lorgne, Sinon d’une lune aussi claire que de nous la lumière...
Un état m’apitoie, happe-toit, hâte-toi ; Un état m’apitoie et j’en vais au-delà... Dépassant les raisons de mes vastes soucis, Séjournant aux pourquoi et à l’indécision, Des fantômes entonnent quelques désuétudes, Et, devant moi apparaît le renouveau de vie, Renouveau acquis, compris... D'ailleurs, Ce renouveau qui fait force de frein, gageure : Un renouveau qui satisfait aux jeux d’école...
‘’Je vais te lire et tu ne feras qu’apprendre’’ ‘’Tu vas me nuire si je ne sais prétendre à l’ivraie’’
Comme un poison aux vecteurs de ces mots : Les poussières d’étoiles, forment l’ivraie substantielle, Et la candeur morbide, en de salutaires destinées...
Précipices précipitant ce que je sens agir au fond de moi ; Comme le cercueil bramé sur des singeries emportent quelques uns, Au sans-mouvement l’illusion parfaite, Car au fond là, question départ réponse, Vacations passagères...
Écouter, pour agir, serait répondre à l’illusion accélérée De combattre les démons de la modernité à l’en- Contre d’un mirage, naufrage « And Go! »
Je me lève à m’épanouir d’avoir foi Bien qu’omniprésents soient fourberies et balcons de baudruche. La crêpe est plus folle au déni farouche : Ou, en corps, Quand vient la chair abonde à même mes incisives, À me demander la bouche pleine et délectable de musc, Dans quelle - mesure - je - mesure- la mesure De quel contexte, je dévore ou non Vie d’envie à la Matière du réel
( Cette envergure bien peu ténue à garder Démesures de mes sentiments, Mesure ! Démesures sans fin, enfin, Mesures ! Vivacité fluide peut-être, démesures ! Sans valeur à mes ombres portées, Nuit d’été, calme balancé balançant, Liant, sans tonnerre, ni tornade, et J’en passe... Où Marguerite et Jean-Louis Sous un voile de pétale or chants du silence. )
Mirage, oh vois, désuète ! Mixage, vision-vers-versatile, interprète ! Mariage-musique, muse d’obsolète présage ...?! Des démesures où mes espérances côtoieraient le Dégoût... Mix-mix’à’phrase, exprime message : En quelle para-phrase, j’estime " l’Essage ".. !?
De cris et de sang, à défier l’ « étant » donné comme. À fièvre de trans’ que marion’ êtes dance... À feu et en transes, douces et intenses, silhouettes Joies, comme en peine, un chemin m’interpelle, me saisit, me disloque, Que de broque... De bric-à-brac en jeux d’écho... Écho. Et voici au regard qui brille, " au front d’airain ", À la puissance d’irascibles séductions aux vertiges des actions, Des melting-brains aux melting-feelings, ressentiments à ma raison Qui-Chia-khi. Un ailleurs. L’ego ? Rêves, expressions... Ou selon, où iront, du mien aux notre, des miennes aux vôtres, Que fauche-t-on, sinon la force aux illusions, la propension Aux Utopies... Les transitions du mal-acquis, à qui !? Autres Rencontres, selon l’en-Vie, valses de maux et idéaux que bercent Les lenteurs... Je, m’incrimine - Je, et élucide... Mon amour. Détermine
Et me voici repartis sur un sursaut d’envie, d’épurer à l’aube d’une action Aux mouvements de penser à l’aune du moment, si peu de chose en somme, Si peu de temps nous sommes, si peu de chose à l’égard du silence, Si peu de temps à l’égard du néant, si peu d’épuration pour flopée D’inter’actions : épuraction’ ! Et vice-versa versus versatilité ! Agir sans compter, sans dompter, livre d’ "embolée", libre de réaliser à l’aube des Moments, à l’aube, humain, sans mépris ; Être, être si Humain, être être... Si peu et tellement à la fois, ce paraître vers quoi tant coïncide
Arme... Une armée de triples cloches aux secousses de l’ineffable. Elles relèvent le tempo, embellissent le Tango... Qu’en est-il des mots ? Quand naît-il des maux, le ‘’marsouin’’ ?... Et voilà que le temps est conté, et compté, Et répété, et... Nous voilà au secours : arrêt-reprise, déception-méprise, viser ou percevoir... Il est dénué dénouant, enjoué dénoué aux épreuves qui alourdissent les " temp’os "... Sentiments présents, sentiments d’aubes au levant, Sensations sans valeur qui lorgne ; répétition, des rimes aux mouvements Mention épuraction’ semble frémir grisé grisant, animal vivifié savant, ‘’Marsouin’’ devient ragondin (ragoutant, rat-goûtant... ?), préfère Aux soins huileux d’une forêt les eaux boueuses des marécages...
Présent redouté, prestance plénière, enthousiasme subordonné, circonvolution d’Autant... Et puis des petits liens, sans rigueur assassine ; Ou pourquoi donner à coordonner, langage, langues gages...
Une pincée d’aisance, ‘’ma foi’’, un peu de courage, l’en-joie, Virgule, cancérigène, odeur, Odeur, attention d’intentions... Sentiments, instances, insistances, quantiques qui font des ondes circulaires Sur les tissus humides de rongeurs aux gros museaux intéressés... Au Oui curieux, vague de phylogénie à la prosélyte élémentaire, Au Non de vulgarité puisant au tréfonds d’une orfèvrerie qui me demande D’aimer à apprécier, et le contraire, voyons, une fois, une voie, d’une voix, Vision-état, phylogénétique tant est si plus, toujours au limite de l’acceptable : Se lever, se coucher, admettre, se mordre, se nourrir, rêver. Méditer. Au cogito, Cogito ergo sum... Ego sum, ego existo... Au carpe diem, Carpe diem quam minimum credula postero... Un certain regard : Humanus liberatum terrae... Poésie. Poésie , poésie ... ? Trois fois à ce que sonne Le glas d’une musique aux ombres des péchés de chair, d’envie, de jalousie, et Cetera, voudra combler le poids de gravité, créativité... Quantiques s’élève Magie. Reliefs de ces courbes profanatrices aux imperfections si humaines, si blasphèmes Pour un mensonge, sermon d’intentions au fil des émotions de partager sans Qu’interviennent les injonctions de l'incongruité d'une nature spéculative.
Écrire au-devant, par-delà... Épurer les mots aux sentiments... Satisfaire l’Émoi pour d’irascibles frénésies humaines et vibratoires : Les nuisibles du combat, les danses d’opposition, le mélo léthargique, La création salvatrice, l’action motrice, les litanies du jeu d’enjeux. Missions occultes et vampiriques, de monstruosités symboliques Et édifiantes. Sans trop se presser, à épurer ses songes. J’actionne Mes émois. Le temps court sans moi. Je tourbillonne tel un derviche Entre mes pas, ce centre est mon courroux, ma fièvre son désir questionne Mes renouveaux : Quels idéaux , Quels jeux de maux , Ou jeux idiots ... ? Jeu d’émo- aux compliments complices d’une baise aux " Crires " !
Puisons à conclure connivences hésitations réprobations affirmation point virgule ; Sans trop se répéter, à partager, aimer les pleurs et les rires ?! Les cris en lyre ?? En soi, sauf sauvent les plaisirs se lèvent de joies - jouir - Joy... Épuraction’ lâchetés Nuisance bruit pensées... Pansons les blessures, ouvrons les chemins rédempteurs, Sacrifions l'orgueil miséreux... Et garantissons la volupté de la chair des ans descend La rupture : évolution, intentions au fil des saisons de s’armer sans cesser de lutter : Affermir ses marquages, aux lumières humides et convexes en passe-passe boisées.
Papillon de la liberté L'Invitation Derviche - Attitude Épures scintillantes Présence (Sous le chant des dunes) Pour Chloé (Hymne Hymnique) De la Fragilité Les six vagues abondent Vers quelle folie Douce folie L'âme amoureuse
* ( 11 ) *
*
Papillon de la liberté
Lorsque le chat ronronne, C'est par le feu que s'amusent les dragons.
La grotte humide de l'ermite séduit d'une balle...
( Gigantesque est la prose pour celui qu'elle détruit ).
Un cobra comme une volonté expresse unanime.
Colonisez disaient-ils, et perdez cette dignité humaine, devenez animal, devenez carnage d'une beauté à l'autre.
**********************************************
L'Invitation
Il se baladait sur l'île de Chiloé Les yeux tournés à immortaliser Toutes les saisons en une journée Esprits rudes des cœurs livrés Aux rives houleuses des canopées Où l’on se sent vivre humblement
Il n’est pas Homme à se laisser mourir Devient l’image et son néant Dire les choses que ses mains agitent Sans autre joie qu’écouter le vent
Livré à l’aléatoire Ce combat contre le hasard Œuvrer à ses contemplations Nécessairement travailleur de l’irascible
Hors du temps et vagabondant Immaturité sauvage précaire prioritaire
Les migrations de volatiles La nature éphémère Sans colères Aux racines voisines Insoumises inattendues Compagnes du voyage
Vivre sans précédent Au gré d'évasions intestines Petitesse de l’arrogance humaine Les souris ne sourient que de peu
L’anodin est culture Son dédain en césure Sans détours Suffisance joviale valse les solitudes Ces Terres de Feu
Araignées et insectes innommables Il observe Un carnet Une présence Volonté de s’approcher Volontiers
Guitare au poing Machinalement Stop
Rébellions Soit de Non Isolement de justice Les surveillances éperdues à s'inspirer Autrement
Trentenaire bon sang Détenteur de livre en livre Quelques outils pour cultiver
L’ailleurs est une femme Née d’autre part Aux antipodes des souvenirs Quatre mains pour symbiose
Récoltant les fruits de l’océan Des créations particulières Le quotidien nostalgique Il note Il aime
( Influencé influençable au combien aimant Sans autre réponse en soi que quintessence de compulsions À vivre intensément Le rasse-à-miasmes en ses avantages Sous peu d’inconvénients Sinon que Aux gens de peu Souhaiterait-il le bannissement du chagrin La force du courage et l’impartiale Vertu )
Comme un air de large au loin de ses mémoires Cet enfant du lointain est Homme du Savoir
*****
Derviche - Attitude
'Tournicoti, tournicoton' – Tourner en rond ! Le monde tourne ainsi "font font font... Autant Marionnettes à Marion'naître Que jouer à la dinette.
Créons l'inspi', qu'ainsi réjouis : À devenir ce qui ne nous affaiblit ! Écrire sans savoir cette portée ; Tourner à l'intemporalité...
Sagesse déesse – Ivresse en liesse Tel Derviche, tel Tourneur... Tourne et tourne, va le temps Tourne le vide au bonheur Tourne l'âme et les heures Tourne encore, par l'humeur !
Que de pas sans Soi, que d'astuces-rictus... En Nous, la fureur sauvage : états, élans En Nous, (Naturellement) Vivants !
De nos rêves si proche et sans blasphème, Bien des renouveaux en mille éclats – De nos os, À l'idée de nos Vies : des cris, des râles, des orages Mais au combien de maladresses anxieuses... Céline !
Éblouis par l'esthétique du Mouvement, de la langue, par Le pas, l'ouverture infini... "On s'arrache" / Tu te dérobes. Comme c'est à chacun que va ce que, déboussolé, exilé ! Géniale est la fourberie en dépit des altitudes, aux soleils des Genres. Bouleversantes désuétudes éternelles... Où va l'hermine Magnifiquement ! Où va ce Que – Où va ce Vent, qu'ira ce rythme.
D'une même famille, à défaut de par les sincérités, De l'érotisme dans l'écriture, aux vicissitudes affranchies, Prétendre à la diction "sans peur et sans reproche" À s'en saisir d'aimer, partir à l'unisson ; prétendre À l'émancipation de l'Esprit – Retrouver l'interjection Qui fait de nous furibonds vagabonds ou autres derviches.
De l'Horrible à la Beauté, des cris à tourner, et Tourner. Aimer jusqu'à se retrouver au pouvoir créateur... Belles Images ? Répétitions : Aimer tourner comme s'abandonner, Comme si rien ne se contrôlerait, comme si notre attitude Attend de Nous la litanie du temps – passe... Comme passe Les maladresses, les silhouettes émérites ; Comme si le futur Rejoins cette philosophie de l'horreur, à vous conter ce qui ne Semblerait. Ce qui devient un devoir, et qui n'a rien de réducteur. S'amuser à danser tel un Derviche... Tourner le Monde ! Tourner la Vie ! S'amuser à rêver tels ces orateurs... Même aux Colères, tourner, tourner – Continuer ces pas Au Superbe, continuer de croire au Miracle ; Multiplier Les appuis et les apprentissages. Avancer coûte que coûte.
'Tournicoti, tournicoton'... Tourner en rond ; aimer tourner, En rond, en huit, jusqu'à l'infiniment... Danser et rêver !
Tourner tel un Derviche, entre les rêves d'idéaux, Entre des bras chaleureux, ne plus voir le vide. 'Tournicoti, tournicoton', trois petits tours, Et puis... Continuons
Je t’aime, douceur en elle Que j’ai foi en ma grandissante Joie de vivre Connaître et reconnaître
À savoir déjouer les incompréhensibles Expériences significatives, qui ne demandent Qu’à être démêlées...
Soyons (êtres) heureux ensemble !
- De l'amour vers l'amour - Aux sentiments, si vrais, si grands... Qu’ils deviennent à chaque instant Un filament, aussi patient et stable Que d’anges jaloux s’étonnent à Merveilles
- À l'amour de nos amours - De par la douceur de nos assentiments Éclosent de chaque instant au firmament Tant et si bien que les astres bien qu’ultra-millénaires En rougiraient d’étonnement
**********************************
Présence ( Sous le chant des dunes )
Sur les rives destinées, j’ai déambulé les pieds mouillés. Avec intérêt, mon regard s’est sublimé en un solstice... Nourris de rencontrer et de connaître les vastes champs Que je dessine en moi les chemins du néant ; Une seule issue à ma présence sert de justice à la souffrance.
Muet J’entends les cris Je sens la honte Je vois la mort Au milieu d’un canyon asséché, le sensationnel La beauté, l’azur de baigner dans le plaisir, Vivant
Au sommet de la montagne, suspendu, L’envergure du vertige, la dominante humilité, Ravi Dans les eaux troubles à limpides, créer les souvenirs, Vibrant sous les rythmes des liquides, se métamorphoser En équilibriste novice... Reste apprenant au point de limites L’inattendue - La mise en fuite - Combattant Je me détermine - Ressens ou vois - J’envoie
Que d'aventure, au chant des dunes Entendre le vent, entendre le monde Savoir les contradictions du temps En un instant, la magie magnifique Parcourir l'éventualité du magistral De l’inouï à ce qui parait accessible Exister, et combler au contemporain La beauté crédule d'anges invisibles
Sans s'imaginer, juste le grandiose Le Vivre, l'énergie de l'instant Les moments de grâce... Juste être et renaître De la justesse Un air à l'âme Éventuelle
**********************************
Pour Chloé
Si mon amour près de moi fait battre mon cœur de joie De nos rêves partagés sur l'autel divinement dressé
Mon étoile sertit conjugue d'une tendre voix L'assentiment louable de nos projets imagés
Je t'aime, comme mon souhait de le montrer De notre force déployée, ravissements et vitalité
Autant de lumières s'envolent au gré des vents et marées, Illuminent un environnement riche d'advenir. Les sommets, les versets de ton âme Chantent en moi l'incandescence, Cette chaleur ferveur D'aimer
Or, « je reste le sot malvenu, Un simple idiot parvenu » !
Se défaisant, régénérant, en silence, soumis Sans attendre que les volcans déferlent au crépuscule, Vivre ce qui déverse à la raison Autant tous ces choix en promptitudes
De nos attitudes réservent aux passions La symbolique portée au cœur vénérable
Passages à l'envi, l'importance d'être ensemble La cruauté des rêves d'une symbiose évitable Comme la magie de nos vies emmêlées Comme la pluie sur nos peaux égarées Tant de miracles qui nous émerveillent Tissent notre chef d’œuvre « Tel le vent d'une flèche Au cœur de la cible »
« Telles les étendues de terre et d'eau Aux méandres érodés par le temps »
Tels nous deux créateurs dépositaires d’Éternité... Deux créateurs, d'Éternité...
*****
( Hymne Hymnique ) De la Fragilité
Si je t'aime à l'Éternel...
Si je t'aime d'un amour si fragile, d'un amour si Futile, même placide, je n'en reste pas moins fébrile...
Que je t'aime d'un amour possible, d'un amour paisible, Veillant, et vaillant, n'en reste pas moins un Homme éprouvant.
Comme je t'aime d'un amour avenant, si prégnant, déterminant, Je demande sous quels thèmes nos vertus s'entretiennent ; Nos humeurs et notre grâce maxime regagnent et retiennent La nostalgie du chaos de nos vies.
Dès lors t'aimer, de cet amour nuisible, de l'amour intranquille, Amour détrônant, mais d'un amour puissant... Fût-ce de croire En ces réalités aux tristes figures, croire à l'élévation de nos esprits : Aimer l'intransigeance et la désinvolture, Dépasser les raisons de nos vastes soucis.
Qui me laissera l'aimer de l'amour aimant, de l'amour qui dément, D'un amour enivrant... Qui se laissera aimer d'amour puéril, sur le Fil de l'amour qui bât d'île en cils...
Écrire que la Vie bât de plein Interpréter qu'un mal-être s'exprime Saisir que mes sentiments priment Sur le désirer retenir de modestes liens.
Je m'étourdis du poison Noyade sans idylle Redécouvrir les blessures Torture pour délice Le vice à la hauteur des préjudices Sans espoir ni cymbale ?
Énoncer que la Vie bât son plein Interpréter les vides à raison Un mal-être va comme vient Fustigeant le rythme des saisons Nécessite de s'y plonger sans goût de fuite Au delà de frontières de limites Au delà d'une silhouette qui lévite Où l’ego avance à mieux mieux donner suite S'armer d'amour toujours Croire aux alentours Aux lendemains infortunés chancellent Les valeurs à la lune sur face diurne S’apitoyer de la flamboyance du dégèle Écrire avoué légitime et morne...
Bienheureusement entendre la Joie de l'éveil mordoré Soulever le masque des illusions emmitouflées Du regard porté hagard au passé élémentaire Combattre l'invisible jusqu'au plus haut du ciel Les visages matières mouvements à l'ordinaire Et l'essence des pressentantes sur le lie des amertumes Tenaces sont les visions rêvées songées essentielles Répandre ici là l'amour à mort de foi de force Horizons à la ferveur des cœurs posthumes L'espoir l'entier l'envi le sublime des corps !
Je suis né tout à l'heure et la vie est une fuite Mon enfance au goût de l'irréel feint l'azur sourcier Aux désirs de l'ineffable pardon donné au louable Sinon créer furieusement l'abondance du sourire Lorsque l'Équilibre semble ailleurs d'ailleurs...
À l'art d'espérer sans cesse d'illusion Ce monde vaudrait la peine Vouloir offrir les vœux de suite Devenir à la fluidité entendue lucide Qu'en chemins lèveront les Esprits convaincus Aux versets de nobles perceptions en témoignage. ( Et se savoir terminer l'expression sauve du lien Conclure d'un clin d’œil par un : point ! )
***********************************************
Vers quelle folie
Entre folie douce et tendre folie... Vers quelle liberté ? Duquel engouement ouvre l'absurde symphonie ? Une rage au corps, au cœur de nos envies, aspire À vivre l'instant d'une spontanéité juste et affranchie.
Le sort ! Ce bel ennui... Quelle douceur amère ? Sans concession, d'où viendrait l'empathie ravigotante ? Errer d'accoutumance prestigieuse ou non... Infirmer pour s'affirmer, S'émanciper d'un refus sur l'autel de l'injustice outrancière. Tel au défi !
La descente vers nos ténèbres intérieures. Se saisir d'avoir peur aux Portraits outrageux des visionnaires hallucinés, sans compromis aucun. Et ouvrir ses diligences humanistes et misanthropes... Dimensions oniriques Perdues sous les cadavres putrides. Avec le désir libérant des sources abruptes, Avec le regard sauvage et partiel, intense et immensément subversif. Quelle folie !
La monstruosité humaine ? Face aux images libérées, aux Sévices absurdes, aux gens de peu... L'abstraction brute et nihiliste, La joie de l'ineffable, les regains hurlants et manifestes. L'art d'un Goya. L'humeur furibonde, la création noire immanente ; le défi de trouver La miséricorde pleuvoir, l'abject suspendu, le sourire des déshonorés.
J'arpente la vie sous des cloches malfaisantes... Ma folie d'aimer à Raison ou à tort la noirceur de mon âme en ses traîtres obscurités ! Quand mon allure se dissipe sous des chants de lune, Quand les regrets s’effacent par le désir de corrompre Son besoin de douceur, pour une échoppe d'animosité, Tout vient à l'authentique sermon d'apocalypse...
Et voici qu'en mon cœur soulagé par de faibles lumières Aux brûlots de ma joie viscérale nourricière, La brutalité septique, l'obligeance naturelle Et la beauté symphonique m'interpelle ?!
****************************************** *
Douce folie
À être né... À vivre et à renaître...
Une folie au combat irradie, Les anges s'appellent amours sur lie D'une rivière envisage la pire des étreintes.
Quand s'interprète le comble de l'infini...
C'est de la joie qu'il nous faut, De l'art et des mouvements Sans quoi le malaise ouvre L'exode des magistrats !
Bestial infiniment animal, Sobriété réjouissante éperdue. S'amuser d'un rien à l'instant magique, Comme la vermine nourrit l'absence...
Encore faut-il mériter la sobriété sans merci, Des renoncements implacables aux murs de bronze, L'orgueil perdu et la simplicité sans fin, à l'infini, De chaque seconde d'une pleine vie généreuse !
Parce que la douceur de vivre escompte la beauté du ciel, Notes et orgueil de caresser le vent, de croire à l'absolue folie, De l'absurde à la quintessence des esprits convaincus : Le bien est à raison d'une folie partagée, au rire, à aimer, À rêver du meilleur, le miracle du voyage à l'amour retrouvé.
** *
L'âme amoureuse
Aimer jusqu'au plus haut du ciel Ton miracle est de pureté Des vagues éblouissent l'horizon Comme un bateau franchi le phare de la beauté
Sans toi aux vœux d'éternel Je me sens le vertige Tu as déposé la fougue libre Le rayon imperceptible et la lie
T'aimer comme on dépose le fragile Sourire à tes vœux du possible Nous embellir ensemble De partages et d'échange
Pour toi mourir d'amour Sous les feux ardents crédules La braise surannée
Créer souffler les vents grandioses D'enchantements pour ma Bien-aimée Le ciel, la Vie, l'Éternité, l'apothéose Pour cet amour transfiguré
- - ( 2 ) - -
S'il fallait choisir une vie, elle te serrait donnée S'il fallait chanter l'amour, je chanterait ton nom À l'aube de mes jours tu as su écouter La ferveur de créer et le Vivre Soit libre de joie pour Toi
Oh mon âme, ma bien aimée, Danse la douceur des cotons parfumés Toutes les clameurs d'idylles escomptées Et le parfum du voyage... Grâce à Toi L'azur de ma beauté, les chants de mon cœur Battant, aimant, et vivement amoureux
Ma bien aimée, mon ciel azuré, Je souhaite humblement à tes côtés Le plus beau des cadeaux est, ton éternité...
Il est des airs aux cœurs chantants Il est des hymnes voués à l'Amour Croire tous les sentiments adviennent Sans que sans eux la joie se feigne
Sous tes sourires, je suis un prince Sous nos sourires, comme un écrin La merveille de mon éternité La ferveur du funambule Le secret de quintessence
Du magnifique au sublime Ta présence en mes vœux de réel Me subjugue, me submerge, m'émerveille
Que mon âme amoureuse se révèle à la délicatesse Pour Toi, pour tes dons, la Joie qui bouleverse !
Cinq: Rêveur squelettique Sang d'exiguïté Chair à son importance Deux: Cette peau interface Silhouette
* ( 5 ) *
*
Cinq: Rêveur squelettique
Une pluie d'étoiles s'abat sur son cœur Un arc en ciel éblouit le tempo... Des anges aux couleurs des heures Un renouveau vaut cette eau : L’eau de vie en nos joies assorties, Est eau d’amour aux rires alloués... De nos chaleureuses étreintes s’étourdissent Aux nomadismes pour liberté, Les étourneaux de bon gré, mal gré.
Son émoi s'apostrophe d'un souvenir rêveur. Désincarné pour mieux saluer Compréhension, Il marchande aux indices d'âpretés, comme si À l'ombre de ses pensées dépensées, Aux détours du malheur, l'inspiration se revête D'une aube aux crépuscules des anges ; Il reste interrogatif sur ses sourires et ses désirs. Avancée instantanée est romantique sur la baie des "ailures". Coquille figée, sentiments sans armure, à geindre ses fêlures, Le mouvement omnipotent se découvre une "Lianesque" qui demande aux Alpha la voie ; Qu'elle soit de "x" ou de toi, en raison des silhouettes braguettes et feuilles de vignes, Tuer les déferlements de l'image spectre-chair ! !! Ces jours, ces heures en des amitiés désireuses désirés Sexe, choix, et à cœur de s'émouvoir En désincarnant la silhouette vitale spectrale Cinq, quatre, trois, pour se voir lutter, danser À la lumière du rien, pour ou contre le néant de contrées en chemins si bien lunés, Qu'espérer leurs illuminations lui ouvre cette autodétermination, langage de l'être, Une expression accueille du féminin au masculin singulier ou pluriel Le monde et ses modernités modelées par l'extraordinaire, Par la sagesse confuse du manque parfait, Un extra aux Heures Terres, et, Aux Leurres Errances...
Belles, belle, belle ! Douce est l'attente beauté Des séjours vécus aux plus beaux rêves épurés...
Il rêve de chanson, d'air, de mélodie : "Je suis penché, sur mes pensées, Je suis ailleurs, sans goût, d'ailleurs... Je suis penché, penché, sur mes défauts, Je suis d'ailleurs leurs fournisseurs... Je suis Pensées, penchées sur mon passé, Je vis d'ailleurs au goût de malheur, sans regretter, Que je reste penché à me panser, la joie au ventre, Toute à défendre... Rester panache de ses pensées, Cette foi d'ailleurs au goût de bonheurs... Restant penché Sur mes pensées, je vole au secours et sans rancœur, Brèche de vivre au goût d'ivraie le mal au pire, vive douceur, Douceur de vivre plus que j'avais, un mal au cœur qui m'effraie Des maux aux ventres du respect... Qui reste penché sur ses pensées Se voit dès lors récompenser d'aimer les ombres, l'obscurité, renforce Son cœur, son être, sa joie, ses rêves d'apprendre -découvrira D'aimer au delà de soi, bien que penché, penché, sous ses pensées Écot-pansées... À croire que la Vie malicieuse est faite pour soi."
L'irruption de penser en chemins égarés, mal éclairés, hagards Et hagard - Interruption de tromper un monde affecté infecté aux humeurs Comme par autant de manque de Valeur... Qui-Chia-khi ? ( De la vulgarité émérite ). Qui des jeux en-joyeux vient à soi ? Attente - Silence - Abstinence - Définir par notions attractions intuitions ? Aimer - Songer - Apprendre - Comprendre - Réagir en âmes convoitées ; Aimer son prochain Comme un aliéné né... Né de la valeur du monde, vers quelles philanthropie ? Parvenir à sentir et ressentir - S'interroger à s'aimer de particularités : Sentiments rêvés, écueils déposés, rougeurs enfantines...
Amour de vivre aux présences instances Regards horizons aux vertus de lueurs multiples Du "je" autodéterminé au "nous" d'absence Les corps à cris, le somnambule meurt Un fantôme gage l'oubli... Si bien Que tangible est le vice et vers "ça" Sont les rêves de flexibilité À souhaits d'une réalité Aussi belle que rivale
"Incarnons cette fraternité Aimons nos méditations intimes Que le rêveur en nos cœurs fasse l'éloge carné de style à l'éminence d'une excellence De par les marches aux courses élémentaires affublés du squelette Pirouette Se relever reconnaissant reste passionné jusqu'à l'inconcevable"
Le fantôme spectral entoure mes sentiments ; Harmonie sans ironie, alors que sans abus de verve, Avec l'invitation des chants animent mon corps élan Plaisir de désirs, de pensées pansées, Songer, bercer et tuer... Mon verbe À même mes idées présentes : Vivre ce rêve incarné.
Comblé à combler des vides Aimer à satisfaire l'irascible Quelques plongeons de clairvoyances au secret des songes
Puiser son âme au renouveau sans fin Soit immersion danse horde hors temps Un frère s'élève lumineux de lucioles à l'image des faons
Âmes arides corps-anneaux démons Supporter les déambulations indécises Se secourir d'un état d'éveil réel pour n'en souffrir Affronter les noyades étouffantes : Rituel contenu retenu impromptu, Ce sont ces continuums déjà si précis, convenu, et tellement désiré. Soit ?
Épurer son expiation Simplifier dame-nation Oublier ses humeurs les plus félines Dorer son image vaillante d'ivresse Lâcher son courage à corps criant sa liesse S'éblouir de frémir aux caresses collines Sensibilité retourne à feu et à sang l'innommable, Les innombrables regards qui font d'yeux, Foulée d'illusion sans perception fatiguée ; Révélations révolutions exhumées des cieux Accompagnent l'effet d'affectes révulsés d'un appel qui Illumine le caché improbable et inconditionnel de toute vie.
Musique co-sanguine Oxygène encore copine Tonalités bancs publiques Union du bon pour le bon Sinon d'amour contigu
Atouts bus ciguë Le retour aux démons Phase de plus appelle le mouvement Humilité d'agir au gré de conditionnels Où l'astuce rime au consensus
Je bois ce sang de vie et d'espoir. Je marche ailleurs, les yeux bandés... J'éveille mes sensations éveillées, Et, une lueur illumine alentour Catacombes et transfusions exiguës. Idée d'une fraternité retenue.
Encore, au corps, au cœur en corps, demandé éperdu aux transports Des vilains. Se révolter pour mieux aimer ensuite. Haïr c'est aussi montré Son assentiment à la vie. Des garages... Des masochismes à l'hypothétique profondeur... Je m'éloigne du cerveau en son met délicieux. Mortels ! Goûtons la saveur d'un ailleurs à l'intérieur. Rester "enfermés dehors" ? J'aime l'amer... Piquer au vif, aux révulsions, aux intentions. Comprendre, Savoir, Aimer à détester, Cette avancée " somnambucolique ", Somnambulisme ambiant, Ambiance étouffante.
Au travers de mes effrois, de mes rencontres, rentrer dans un sensible, Dans le sensible du vivant, animant, comme tenu à ouvrir une indépendance De mouvement ; un mouvement d'errer dans ses pensées, dans ses actes, Au plus profond de la chair.
Combattre l'exclusion, sans provocation délibérée, hormis sa propre détermination : Hors-Ego, je reste assoiffé d'une transcendantale transcendance... Illusions-désillusions : D'incompréhensibles destins se dessinent à l'encontre, d'une musique, des élans À l'importance de mes ardeurs... Se réjouir d'expression, se réjouir d'émotion... Un Rythme, dépourvu, épuré, simplicité au regard ami, fraternité éprouvée détenue.
Bien qu'enfermés par des liens, des attachements, des idéaux, des rêves détachés et peu Vécus, surmonter sa volonté pour les oublier, les déconstruire. Idée d'automutilation, Comportement assassin... Alors assassine ta chair, assassine tes élans, assassine Tes idées, tes désirs. Je ne serai pas des tiens, je ne serai pas des vôtres... Ou je me retiendrai encore et encore, toujours au détour d'un trésor, Aux confins d'or ou d'argent, une réponse silhouette, réponse allouée Au crédit d'insurgés : rédemption, adoption, dévotion. J'aime une femme, la femme, sa Chair...J'aime ma putain de féminité ! Croyance androgyne, Dérive éponyme scandée, montrée, dévaluation, déconstruction...
Avancer. Renforcer ses actes. Croire à exister. Participer à chaque instant aux sermons démons de nos vies... J'aime ma face cachée, j'aime l'ombre de mes pensées, mes émotions, un équilibre qui renforce ma lumière, et de lumière en lumières... Lumière d'une humanité chair si chère à la peau révélée, À l'interstice étendu d'un univers si vaste, si grand, si dément...
********************************************
Deux: Cette peau interface
Au delà de la chair, au delà de tréfonds continuels, voilà que Nos différences retrouvent l'écueil, l'éventualité D'une sensation, d'une volonté, d'un poison. À dos et à sang, à l'image renversée, Un artiste peint l'inhumain et ses contradictions.
Rêver à la fusion des sens, des organes, et Pourquoi pas mix d'avant-garde en drapeau. Mix de léchouilles, de grattouilles, de caresses... J'aime goûter à cette sensation, en cette douce illusion D'être si proche à se mélanger. Phénomène fantasmatique, Être le sexe que beaucoup oppose. Si proche, si près, si attirant... Une peau, une odeur, une lueur... Rentrer au contact, en contact... Ressentir son don, de sensibilité... Qui perd une faculté développe d'autres capacités. Qui s'handicape, se mutile, ou le devient un jour, à ce moment donné. À cet instant, un autre à dessein, un autre mal, un autre revient...
Toucher. Regarder. Caresser. Respirer les uns les autres. Et moi ! Moi ! Moi...
Un fantôme fantasme de rendre nos particularités si opérantes et bucoliques... Une jouissance de rire l'effroi des psychosomatiques annonciatrices. Mourir un jour mais à quel prix ? L'heure de malheur. Mourir d'une peau à l'interface douteuse. Et qui serons-tu au regard de l'entour, Au regard d'amis, au regard de nos liens...
Un temps, une volonté ; D'une dextérité, son néant...
Appel au vide, à l'indicible Appel à n'être, si peu d'élan Toucher le monde à son paraître Un cri de vivre, un cri pourtant Une, un, du, des, aux, vers À l'Aurore annonciatrice Vers de nouveaux prêtres Exceptionnels habillages Vocifération maquillage...
Des carapaces regorgent à profusion... Comment larguer ces montagnes d'expression ? Comment s'achemine l'écriture en question ? Et pour quoi... Et pourquoi autant d'amour sans érosion, Autant d'aller, de venue, (le pur du jus) Au tant au temps d'autant...
À dos, j'écris À vif, je vis Seul, j'erre Épauler ou enterrer, Aimer ou rejeter, S'en satisfaire, D'être, " de l'air ! "
Un brin de musique souffle au-delà de l'écoute. Âmes orgueilleuses regrettent leur option déroute. Attaque de moustiques, de voyous ou de flics. J'ouvre l'entête... J'ouvre l'entête où l'on martèle d'un bip, d'un tac boum, tac - tac boum, Ou d'autres sons arithmétiques, d'autres profusions de mélodie qui touche Qui touche à l'hypocrisie, par intérêt, par sermon, par un besoin qui asservit : Un état de droit, un " Étant " de vie en un sens, en cette quête d'altérité révélée...
Espérer cette chair opportune Allouer un destin pour toucher Toucher à se rencontrer Toujours au tréfonds de sensibilités À jamais, défendre l'identité
Reconquérir à toucher : Sept points, cette force... Lune relief, repères en brève... Décevant, advenant d'un combat d'une peau interface... Un cadre, une silhouette, image... Visages, formes, proportions, Équilibre équilibre aux indices de surface. Miroir de notre âme, miroir étrange... Regarder. Se regarder. Du moi au nous... Toucher. Se toucher au toucher... Des caresses pour mieux conquérir
Aimer cette peau si chère Aimée entre et par-delà Frôlements et tâtonnements À la saveur salve et enfantine.
Cœur révolté... Yeux révulsés ! Des âmes crient leurs corps déchirés. Un bruit sourd emporte la gageure, Comme aux confins d'un néant pas si loin, Mourir d'émouvoir nos penchants contigus... Dépourvu, quand fureur libérer l'ardeur d'un texte, d'une lueur, d'un prétexte à nos plus innombrables détenteurs déclencheurs évertuant à l'auto-circonspection, à l'auto-dévaluation, à l'auto-dévolution. Un séjour, une heure, des rythmes, des valeurs à la lutte d'un destin que l'on prend en pleine gueule, en plein cœur, en pleine face et j'en passe. Révolté à révulser mes valeurs. Sacrifié au devenir de rêveries. Violer ses amours et ses joies... Rencontrer la silhouette spectrale de nos vils venins, de nos vils destins. Que sommes-nous au détour du chemin... Un cœur blessé, un être tourmenté par une simplicité, une légèreté, une nauséabonde gaieté. En fin de compte je métallise mes envies, pourquoi pas mes désirs ; et si c'était à refaire... Je voudrais être cannibale, à révéler l'humain aussi délicieusement misérable qu'il existe de personnes assurées fièrement de leurs idées, à la croyance d'une cité au plus vaste partage, aux plus nobles vertus !
Je dégueule la putride putréfaction, la pestilence de l'oubli, le renouveau d'une léthargie de fuir son animalité, sa bestialité... Une certaine résistance face à l'inacceptable obscénité moderne, innommables dérives au bord d'un gouffre de déchéances, de déchirements, de mutilations, de douleurs ou d'illustres ineffables bonheurs puisqu'interrompus, quêtés comme s'ils n'étaient à côté. Être dans ce néant, Essentielle Tempérance, crier à voir le jour, prendre la lumière en pleine poire... Putain de vie que lacère nos mains, nos jambes, nos refrains qui font frein à la quintessence d'un espoir.
Humanistes, levez-vous ! Idéalistes, réveillez-vous ! Le temps nous est compté même s'il est relatif, même s'il est éternel. La fureur n'est pas oubliée, elle est en chacun de nous ! Battons-nous pour nous sauver de cette hardiesse si peu admise, si peu comprise... Alors je vais m'arrêter de crier, de pleurer, que ce monde est à chier, que mes mots font fureur de combat, de pourquoi, d'émois aux confins d'un devenir. Savoir qu'en écrire, je crie un salut et Des plus belles volontés, dextérités, Affrontements et déterminations !
Jour "O" en Mue, ou Mue des jours Enfantin L'Adélaïde Souvenirs Le paradigme in extenso Numerus / Du cœur à l'ouvrage Absence de l'Éternelle Absente De l'Uni au Global : Ondes, vice et râles (recommencements) Horizons
* ( 9 ) *
*
Jour "O" en Mue, ou Mue des jours
En venir à laisser vaquer toute activité, Au chemin bord de lac en toute beauté, S’asseoir et écrire des poissons que je vois... L’eau tape en la berge et mon cœur. Quelques meuniers nagent en face de moi, Vaguant eux aussi sans autre ailleurs, Présent comme la force que je déploie, Ensemble et si unique à la fois... Couleurs sombres, et mesurent bien l’avant-bras, Des reflets aux écailles luisent au soleil, D'un canard passe et observe, -m'émerveille !
Selon moi, la Nature est présente et étreint ; Elle dit que le magnifique est à portée de main, Que jadis vaut la valse des lendemains...
Les poissons toujours dessinent les lignes courbes, Les allés, les venues, présentes et fourbes... La Vie s’éteint comme renaît l’Éternité ; Quel temps n’attendrait le nombre des années ?
Meuniers tournent encore à mes pieds, Ensoleillés d’une peau qui perle. Des sentiments qui battent entiers, Qu’en chemin un bruit merle... Et par mensonge, des mains douteuses Retournent à la douceur d’une fée conteuse.
À repartir sur ces chemins vifs d’expression, La joie présente, pour qu’elle défende ici et là Cet équilibre aux sourires prompts, sensations Vives et détachées qu’entre Moi plus de combat !
Je m’amuse comme d’un rien. Je suis un vrai gamin... Des gouttes sur un parpaing, Des cadeaux plein les mains.
Je m’amuse comme d’un rien. Gai, va le bohémien... Les saints me le rendent bien ; Je suis libre de mes liens.
Je suis un vrai gamin... Je pleurniche et étreins. Or la vie bat son plein : Des trouvailles à dessein.
C’est en libération que je parviens, À force d’expression, je vois le lien Qui unit la force, valeur de bien, À la tranquillité d’une âme qui se souvient.
De la clarté. Je te donnerais Du noir obscur aux étoiles nappées de nacre Les pieds gaiement fourbus, le museau à la lanterne Sans quiconque à partie, soulevant l'arc en ciel, diffusant Les rouages du vide et des couleurs au Monde
Je me représente la faim. Le reste est définition. Vous devenez l'engeance Et d'une verge habile condamnée La saveur maligne La tromperie Les combats L'humeur Idéalement
Mon Ange Pense à voguer sous les lumières argentées Mon Ange Sois porteur. Sois de vers et de travers tissés Mon Ange Je te suis si infiniment reconnaissant clamant Ma Rage. Ma Douleur. Mon Sursis. Mes Envies
Et Rien... De peur, ou de Sang. Or Image. Images. Les voluptueuses Magmatiques. J'entends ce Corsage au-dessus de ton Sein J'entends le Vide. J'entends le Courroux qui Anime Esprits de Bienveillance, Regardons la profondeur Louons l'extase et le temps du tout ou rien Si Seulement
Les représentations en mémoires soulignent les formes d'un désir inassouvi
Souviens-toi du regard glacé comme une figée morte et paradoxalement éternelle La Matière du Réel s'en est prise à la vacuité du temps ...qui passe Inexorablement ...Et ne suit plus son cours maximisé De lumières paradoxales et légitimes. Correct
Comme il savait d'autrefois le temps des fleurs et des saisons, Le moine rêvait du temps jadis où il était encore curé.
La Sœur toute apprêtée au repas de Noces se permît Sans crier gare à une époustouflante chorégraphie enjouée De fièvre sous le chapiteau en folie.
Le condamné dépourvu de louange se prêta à sa manière D'une traître mais vraisemblable mesure À la dernière valse maléfique qui eût pu l'enchanter.
Au dernier rang du comité des saints siégeait un saint patron, Tantôt archange, tantôt sans lassitude plénière... Que reste-t-il de nuages ou de firmaments ? Comment le tout se termine, oh combien ! La pluie lavée terminée éconduite.
Il est pourtant une joie de fleur... Aux Paradis diffus... Le paradigme étroit.
Calvaire, et quelques soupçons d'entre-faits. Cette douceur de vivre limbée de dons : Ma voix se meut de forces indomptables... Aux Temps. Des Prétextes. L'abnégation. Et La Fleur aux Paradis ! Terrestres ! Oh jamais, sans autre jamais...
Les chiffres, des appels à l'entour Ce qui me comble à l'orée de mes jours L'éternel en mouvement, des Hommes Et l'extension corpura sans damage
Un et deux aux couleurs pastels Trois pour l'absolu, la félicité Du huit aux courbes de l'infini Passa un neuf où s'éclosent Les esprits de bienveillance
À chaque heure suffit sa peine Alors que l'azur lointain se devine Malsain ou divinement attendrissant Nos amertumes à combattre l'âpre malheur D'humbles vies à l'encontre, détrôner les peurs Soulager, à raison ou à tort, à foison Chanter, Danser, Aimer... S'Aimer
Un appel à l'amour Illusion de l'ennui Représailles, il s'en suit Des paroles en mon sein Pour parvenir au tien...
Quelle heure est cette errance D'une fin pour un silence Au cœur sans devenir Mes émois t'ont fait partir
Iras-tu chercher le sens de mon amour pour toi ? Le lieu où il il n'est plus raisonnable d'aller ? Aimer à trop savoir, si ça vaut le Coup -d'aimer ? Mais aimer, Qui aimer, Oui aimer... C'est tout Ou le rien face au Tout
En décrire l'absence, celle à regrets Des Questions scellent nos reflets distincts Et pour quelle philosophie (pendant que j'y suis) ?
M’enivre et, je suis... Ton absence est sertie Mon avenir tel un artifice Ta Nature exponentielle Se fait rose ou noire En brins du désespoir À la ferveur futile Ton sourire gravé
Comme il est loin le temps de mon consentement croisé Encore que, en ton âme et ton sein Saurai-je aller aussi loin qu'il soit souhait d'être chanté ? Partons ensemble, Quittons l'absence, Laissons aimer l'amer de nos ferveurs hétéroclites Où le découvrir subjuguera le triste sort ! Aimer du Tout, la moindre Aimer de ton sang si cher À raison ou à tort, S'abandonner ensemble Ensemble absentes
À trouver un refrain, un refrain où s'imposent mes mains Des refrains qui participent au rythme Comme au sortir du mythe. Ma lucidité sans trop de clarté Ton absence est celle destinée
Absente de cœur, absente de sort Les sentiments du non-consentement À croire que ton Absence en est sertie
Mon avenir tel un artifice Ta Nature rose ou noire Ton sourire à jamais gravé Sans trop de désespoir...
Qu'il est loin, loin le temps des amertumes contées ( Encore que, en ton âme et ton sein, J'irai aussi loin qu'il est souhait de le chanter. )
Partons, Quittons, Laissons, à découvrir l'Amour Aimer par nos inconditions Aimer du pourtour à l'entour À raison ou à tort, Enchantements fébriles Notent l'Absente aux faîtes d'or
À trouver un refrain, un refrain où s'imposent mes mains Des refrains qui participent au mythe comme au rythme Enfin je vous salue jeunesses Lumière À l'écoute, ton enfant est ta chair, Si chère, par absence, soyez présentes Et, aimez croire à en être fières, Que Chaque Amour en est sertie
De nos âmes, plus qu'un quelconque arbitrage J'aimerais de ces mots à ces quelques phrases Passer la mélodie à celle d'une chansonnette L'absence en sa raison guide nos ailleurs Et celle de nos chansons...
De l'Uni au Global : Ondes, vices et Râles (recommencements)
Ici, il ne sera fait aucun sacrifice, Car c’est dans le carnage des chairs que les songes périssent. Le berceau de nos âmes, la justesse de nos cœurs, l’engouement frénétique, Vivent aux périls des crédulités à vivre, agir, penser, construire, détruire, apprendre, désapprendre, Goûtant le monde en sa superbe noirceur. Seulement après, voyager vers nos raisons Que les joies découvrent et anéantissent...
Regarde... En Haut... Les Étoiles, ...Elles te parlent...
Regarde... À tes pieds... L'Éternité... Il ne s’agirait de l’écraser...
Regarde... Au loin... Tes Utopies, ...uniques et pleines de rythmes...
Vient ensuite l'heureux présage d'envers son prochain ; Au cœur libre et curieux des Mondes en chacun, Découvrir, aux sacerdoces de bonnes humeurs, La tendre imagerie des lointaines clameurs...
( J'entends, qu'au cœur du prochain, Luisent des merveilles en chacun. )
Si je déçois par mes néologismes, N'en reste pas moins (singe) errant ; Quelles croyances sont aux symbolismes Ce qui devient tout en étant...
J'imprime ce qui prime... J'exprime où je rime... J'imprime à corps, ou rime à tort ?
Solutions, Mutations... Résurrection, crucifixion. Entre Message et ombrages, Attention, sauf communication !
Dédain d'une portée de main ? Une musique fait battre des ailes. Quels lyriques ensorcellent ? Et à quels rythmes les rendre plus belles ?
Parfois nos cils nous battent entier. J'en comprends moins la portée... Et pour aimer, prendre son temps... Pour réussir du mieux au pire nos envies, Questionnons nos diversités... Souhaitant guère pour sûr être incompris, À en dédier une vie ?!
Renaissances accomplies, Être en devenir Des renouveaux à promptitudes... Notre eau en est l'altitude, quand Soif de vivre sous liaison en latitudes...
Et si je déçois, N'en reste pas moins errant, " Êtradvenir " : Je deviens comme je suis... Des mains le rendent bien S'ouvrent et ne fuient...
Ainsi soit tout ce naturel, Ce qui vient est d'éventuel, La joie de répandre, ici et là, L'ivresse de vivre jusqu'En-soi.
Rentrons à la Maison, Telle une Mue ambition... Je m'appesantis, Consolation et calissons.
Que Liberté soit couleur or Sang d'une humaine divination L'Amitié pour alibi Ambiguïté à son apogée
Encore que, D'où tu lis, Nos bras prêts à s'accoler, Parvenir à force d'ubiquité...
Parlons d'équilibre et de foi ; Aux sentiments d'une seule voix, Des idéaux, en nombre, Rendent un relatif "pourquoi pas".
En ces jours d'automne ou d'hiver, Peu importe ce que, ce qui, ce quoi Délice caprices, Assistances véhémence...
Ces éclats d'expression luisent Aux lumière de l'Esprit Ni délice, ni silence Nos solstices en Présences.
Allons-venons par de salutaires bienveillantes ! Se sauver coûte que coûte, à qui mieux mieux, et Sans merci ; Saurions-nous la vigilance, l'excès, L'amertume apprise et retrouvée (en redondance) ? Et sans répit, le tout pour tout, ambrée du désert, La méprise idéelle sert-elle le pari inhumain ?
Parfois incompris, même désuni, Devenir comme je suis, L'Humeur assassine, au Manque d'amour me mine.
Du Quatre au Cinq, M'endormant le cœur sous la main, Je ne pense presque à rien... Sinon à ces Nous à défaut.
Des conseils ? Ce "un peu trop" ? Entre conseils ? Qui se lèvent au bonjour, dîtes bonne nuit... Clarté du manque est vide, ou, Vide en manque noue ventre ; Et, je dis, Manque de clarté !! ( Aux lueurs intestines ! ).
Prévenir ? Pour quoi faire ? S'épanouir ? Oui. / S'excuser ; De quoi ?! Être balancé au gré de : « Maladresse Traîtresse toi-même !! ». / Inspirer... Ondoyer... Faire le tour de la terre mouvement...
[ L'inspiration se laisse choisir au demeurant ; Cette force est cet élan de vivre, Asphyxier de brûler quelquefois, À sentir, à errer, à aimer, déchiré ou tenu, Donne matière à savoir où tu vas... ]
S'en remettre aux émotions... Vents d'une mue floraison Dahlia noir trahison / Or royaume / Route passions
Entre belle liberté rêvée à réaliser "Toujours prête à s'envoler" !
"C'est fort et sympa à la fois, De sentir et savoir où tu vas...", Tintin. ».
Se remettre de nos émotions Au vent de dub floraison...
Douces envolées exprimées, en des sentiments fort bien cachés.
Aux hululements de la Chouette passe le chacal... À déféquer l'adieu, mieux vaut encore sortir mes yeux !
Le dégoût,... Du dégoût !
Soumission. Sus'pension. Éructer et, cracher... Le noir, le vide... Jusqu'à la bile, le cœur tourné ; Des âmes plumées, tels les oiseaux tenus en patte, Les ailes plongeantes, cachées, cassantes... Bras pendus, tête offerte : ouvrer le sang, sanguinolant Et jaillissant... Ouvrer la mort, la boucherie j'adore, Des abats me font fêtent, ma cervelle caracole en tête ; Comme voici les viscères, et l'abus des outrages : Vociférer l'ardeur, la malice de la peur, Tel un abris au sépulcre et la torture.
J'entends mes os cassés sous l'étreinte du sécateur. Voici ce temps gagné après aiguisage... Écot-préparation.
Le sang... Les tripes,... Ça me trique. Ça me trippe. Voici la bête, féroce et subliminale. Voici l'ardent bestial. Voici la vie, le vit ! Et la matière, ...qui tue, pue ; qui Nous étreint de sa douce pestilence.
Oh que je dégoûte au soir d'horreur Je m'en fait l'honneur... La joie De déféquer sur vos fleurs de jouissantes Misères... Oh jouissantes éphémères...
Le dégoût vociféré vociférant Le panel des envies sous opprobre des sens Quand c'est l’immonde qui nous berce haut les cœurs !
Quel sombre malheur, M’étreint et me ronge ? Quelles sont ces vives désillusions, Iront renifler en tes songes, D'une vie faite d’intentions, Et par-delà tout mensonge, Se cache pureté en ton cœur.
Quel sombre malheur je dépeins, Il me ronge et m’étreint... Dans tes songes, vives désillusions, Qu’en chacun peu d’intuitions, De parfaire à déplaire, La noirceur des pleurs Si pures en ton cœur.
Un sombre malheur vient d’ailleurs... Voyages et parcours émerveillés Libèrent pulsions vents intérieurs. Il s’agira encore de s’étonner, Car la vie par-delà tes pourquoi Définira le retour de ton Moi !
C’est ivresse et allégresse Qui me tiennent émergé, D'un combat d’une tigresse À jamais terrassée... Ta volonté et ta férocité N’ont plus ou moins La double possibilité D'aimer en tout point.
Du besoin à l'envi... Du repos infini. Les excuses se multiplient Et j'accuse mes envies, d'éprouver à regrets ! C'est Partir... Verser les larmes éprouvées Noires lames de vie et puis...
L'envie : de tout quitter, '' partir où personne ne part '' '' retrouver l'équation de mon ombre inconnue ''
Et aimer, oui aimer, qu'est-ce qu'aimer... ? À l'envi, avoir envie de vivre, à brûler de vivre, Aimer pour se désintégrer, et survivre par l'envie émeraude.
C'est la part d'inconnu(e) ! Ces richesses du monde... Lorsque j'entrevoie le désir, il devient le brûlot... Ennemi. C'est le reste de la confusion, c'est la clarté suspecte L'examen de connivence
Mon envie. Ton envie. Nos envies, à l'envi
Plus que tout, telle l'ivresse du chagrin, la mélancolie Qui ne calme pas. Comme un commencement sans fin
L'envie se meut ; elle s'ouvre, s'ébranle, crée la béance Pour nos cœurs assoiffés... Elle vocifère le besoin de création. Elle demande pardon, sans oublier son dû.
C'est l'envie à l'envi ! Songeuses et rebelles, Logiques ou contingentes, libres insoumises, Sauvages prouesses de résister... Plongeons Au devant des abîmes ! Soyons le jet de plumes ! Louvoyons au gré des vents du vent capricieux et tubulaire ( Parce que même à plaisanterie l'envie sort les canines... ).
Mon envie, tu t'es cachée. Je ne sais te retrouver. Mon envie, je t'ai perdue... Un soir de pluie, Comme convenue. Un soir de neige...