[ "Asturias" par Andrés Segoviar "Twitcher" du groupe Scorn ]
Le vide. J'ai soif ! Encore un peu d'eau s'il-vous-plaît... N'aurais-je le temps de mieux aimer avant de sombrer, puis me perdre, à l'infini !?
Calypso de courages en dextérité. Sagesse, abnégation. Ici et maintenant. La voie se fait écho, ici ou là-bas. Elle est omniprésence et sans fin à la fois.
"Ne les réveillez-pas" G. Manset ..de la beauté éternelle du mentor.
Et j'entends chanter le monde. J'entends chanter la vie. Le plaisir porte ses fruits. Revigorer la moindre zygomatique pour nourrir l'arbre verdoyant du bonheur éprouvé, si ce n'est d'un instant, au comment commun.
Merci - non merci / "je suis libre - je ne suis pas un oiseau" nous voici réunis, et si seul à la fois / quelques secondes d'éternité "sous les semelles, exactement...
Expressivité manifeste, continuum, révélation, estime et ampleur. Nous voici. Me voici. Vous. Je. Enfin, tout ce rien qui étrange et créateur, parvient par tant de circonvolutions, aux félicités sincères naissantes de nos corps à cœur ouvert et porteur d'espoir.
Calypso se meurt de rêver d'immortalité, alors qu'à ses pieds s'agenouille l'Éternité / comme tel est le pourfendeur d'immensité, aux brèches du vide puissant des renouveaux sans fin, éternellement, sans fin. //